Infolettre du Fonds solidarité Sud
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Hiver 2015

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Dix-septième infolettre du Fonds Solidarité Sud

Le Fonds Solidarité Sud est une organisation de solidarité internationale autonome (association sans but lucratif constituée en OBNL). Notre association est également un organisme de «bienfaisance» en vertu de la loi fédérale et québécoise, ce qui permet de recevoir des dons éligibles à une déduction d’impôts. Le Fonds Solidarité Sud compte sur votre appui dans la lutte contre les inégalités et pour un monde plus juste et plus écologique.

17ième infolettre du Fonds Solidarité Sud. Voici les quatre principales rubriques:

  1. Le Fonds Solidarité Sud : sa croissance en 2014 et sa campagne de 2015. 
  2. La question que plusieurs se posent : quelle sorte de vie associative y a-t-il au Fonds Solidarité Sud ? Qui donc anime et dirige ce Fonds ?
  3. Des nouvelles de la planète «Solidarité internationale» : a) la sécurité alimentaire et les changements climatiques, le point de vue surprenant de la Banque mondiale ; b) un RDV de la CRDC dans le cadre du Sommet international des coopératives l’automne dernier. Écologie et de solidarité internationale étaient à l’ordre du jour.
  4. Don d’une police d’assurances ou legs testamentaire : comme faire ?



Bonne lecture !
Louis Favreau et Lucie Fréchette, co-rédacteurs du bulletin

 


Des nouvelles du Fonds : ses plus récents développements

L’année 2014, une autre année de développement

Participants au rendez-vous annuel du 5 septembre 2014

Le Fonds Solidarité Sud tenait son rendez-vous annuel le 5 septembre dernier pour faire le point sur l’année 2014 et décider de son plan de match en 2015. Voici les principaux faits saillants :

Le Fonds comme organisation s’est consolidé en 2014.
Avec l’année 2014 qui vient de se terminer, le Fonds Solidarité Sud peut désormais compter sur une présence dans 6 régions du Québec dont la majorité ont une coordination régionale. La dernière qui a émergé : celle de Montréal/Rive-Sud. D’autre part le conseil d’administration (CA) s’est donné une planification stratégique (2015-2020) et a consolidé deux importants comités de travail, le comité de sélection des projets au Sud et le comité de placements et de gestion de son fonds de dotation.

En outre, le Fonds produit une infolettre 4 fois au cours de l’année. Ce qui permet d’accompagner l’information véhiculée sur son site de nouvelles sur ces activités au Québec et celles d’autres organisations et institutions. Le Fonds a également constaté  qu’il a été en cours d’année en relation avec environ 350 personnes dans l’ensemble de ses activités dont 150 sont ou sont devenus des donateurs assidus (toute catégorie confondue). Le taux de fidélisation de ces derniers est également très élevé.

Le Fonds comme association de solidarité internationale : cap sur Haïti et le Pérou en 2015
La conviction de toutes les personnes que nous croisons dans notre action est d’assurer un minimum de justice écologique et sociale d’une société comme la nôtre, globalement très riche si on se place dans une perspective planétaire, à l’égard des populations du Sud. Mieux encore! Leur donner un coup de pouce pour reprendre espoir dans la capacité de leurs communautés de changer les choses.

À cet effet, nous avons pu constater ce qu’a pu susciter notre soutien au sein d’un groupe de jeunes travailleurs et travailleuses de la coopérative forestière Concepción de Guazucaran au Honduras en 2013 et au sein de groupements de petits producteurs d’une organisation paysanne sénégalaise en 2014. Maintenant c’est du côté d’Haïti et du Pérou que nous nous sommes tournés en 2015. Partant de là, nous avons par ailleurs décidé de nous joindre à l’Association québécoise des organismes de coopération internationale, l’AQOCI. Notre demande d’adhésion à cette association réalisée en fin d’année nous inscrira davantage dans la dynamique générale de la solidarité internationale québécoise, notamment sur un projet de Fonds dédié aux initiatives génératrices de revenus de communautés du Sud. Voir à ce effet l’article du journal Le Devoir.

Le Fonds comme outil financier a particulièrement bien performé en 2014
La dernière collecte de fonds, par l’approche «club des 100», pour soutenir une organisation paysanne sénégalaise, a recueilli $11 000.00 auprès d’une centaine (100) de donateurs et donatrices. Cela est sans compter ceux et celles qui font des dons majeurs sur une base mensuelle (une somme de $7 000.00 entièrement destinée au fonds de dotation). Le Fonds a également reçu en 2014 plus de $15 000 en dons d’organisations  (ou d’individus plus fortunés) et une entrée d’argent de plus de $12 000 pour assurer les paiements annuels de polices d’assurances dont le Fonds est le propriétaire. Ce qui amène notre fonds de dotation de près de $150 000 placés de façon diversifiée et socialement responsable. Sous l’angle du capital différé, en 2014 nous sommes devenus propriétaires de nouvelles polices d’assurances et nous avons également été plus épaulé en legs testamentaires. Le montant total en provenance de ces deux sources s’élève maintenant $1 560 000.


Et pour partir 2015 sur le bon pied, un peu de musique et une chanson

A Better Place from Playing For Change on Vimeo.

 


Le «5 à 7» du Fonds au Saguenay le 5 novembre dernier

Une partie de la salle du 5 à 7 
Marc Rainville, coordonnateur régional André Beaudoin, conférencier 

C’est le 5 novembre dernier que le comité régional du Fonds Solidarité Sud tenait son «5 à 7» annuel au collège de Jonquière. Tout comme à Montréal, la mobilisation fut remarquable : 62 personnes y ont participé avec des jeunes et des moins jeunes (préretraités et retraités). Parmi les jeunes, un groupe d’une dizaine d’étudiants de retour du Burkina-Faso et un autre groupe se préparant à séjourner au Pérou. Dans les deux cas, il s’agit de stages organisés par le Collège de Jonquière dans le cadre du volet international de leur formation en sciences humaines. Mais ce sont aussi des étudiants qui ont leur propre réseau de solidarité internationale : la coopérative Humani-Terre et un Magasin du monde. 

Avec l’aide de trois présentations, celle d’André Beaudoin, de Louis Favreau et de Lucie Fréchette, les échanges ont porté sur la sécurité alimentaire, sur la mobilisation des organisations paysannes pour faire face aux multinationales de l’agroalimentaire, sur l’importance de soutenir l’émergence d’une fédération paysanne à Labrousse (Haïti) par un système de prêts rotatifs favorisant des activités génératrices de revenus pour les exploitations agricoles familiales de leurs membres et notre soutien à 150 familles de petits producteurs péruviens engagées dans une coopérative de commerce équitable du cacao.

Un succès sur toute la ligne d’autant plus que la coordination régionale du Fonds, selon les dires de son responsable Marc Rainville, «a pu disposer de l’appui institutionnel du collège qui nous a fourni les locaux et le lunch du rendez-vous, ce qui témoigne de la générosité et de l’engagement international de sa direction».

Louis Favreau, président du Fonds Lucie Fréchette, trésorière du Fonds 

 


La campagne du Fonds en 2015 va bon train : Haïti et le Pérou sont au coeur de notre mobilisation

Après 3 mois de campagne (soit les mois d’octobre, novembre et décembre), $8 000 ont déjà été recueillis auprès d’une centaine de personnes. Ce qui est un excellent début. De plus, dans le cadre de cette campagne un don majeur au montant de $6 000 a été reçu et sera dédié entièrement au fonds de dotation (dont seuls les intérêts peuvent servir pour des projets) selon la volonté du donateur qui, selon ses dires considère «vital de consolider cet outil financier pour garantir l’indépendance économique et politique du Fonds dans le choix de ces projets». Ce $8 000, le Fonds le doit pour beaucoup à la mobilisation des équipes de Montréal/Rive-Sud et du Saguenay de même qu’aux donateurs de la région de Québec. La mobilisation va s’intensifier ce printemps avec des activités du Fonds prévues dans deux autres régions : mardi le 28 avril prochain en Outaouais (Gatineau) et mardi le 5 mai en Estrie (Sherbrooke). Mentionnons que ces rencontres sont ouvertes à tous et à toutes.

Pour 2015, le comité de sélection des projets du Fonds avait proposé au CA de se tourner vers Haïti et le Pérou. Ce qui fut discuté et adopté. Un premier projet en Haïti avec UPA DI et un second au Pérou avec SOCODEVI. Le premier soutient une fédération paysanne dans la région de Labrousse pour consolider leur fonds de prêts à des exploitations agricoles familiales ; le second soutient le commerce équitable de 150 nouvelles familles membres d’une coopérative productrice de cacao. Pour en savoir plus, voir la rubrique Projets internationaux sur notre site à l’adresse suivante : http://w4.uqo.ca/fss/Experiences.htm et l’article d’Hugo Beaureaugard-Langelier dans La Terre de chez nous. Voir aussi le fichier de campagne.

N’attendez pas! Donnez de la valeur à votre argent en souscrivant dès maintenant à l’aide du petit formulaire suivant

Une rencontre sur Les coopératives : du local à l’international dans une coopérative de solidarité du Saguenay

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En visite au Saguenay, le président du Fonds, Louis Favreau, également chercheur de l’Université du Québec en Outaouais, a été invité par la Coopérative de solidarité du Lac-Kénogami à participer à un échange-débat avec ses membres et des leaders de la communauté. L’intitulé de l’exposé de départ : Les coopératives du local à l’international. Le Fonds profite de l’occasion pour souligner que cette coopérative, surnommée le «dépanneur solidaire», une organisation amie du Fonds, a gagné trois prix en 2014 pour son engagement dans la communauté.


Quelle sorte de vie associative y a-t-il au Fonds Solidarité Sud?

Deux personnes sont à l’origine du Fonds Solidarité Sud, Louis Favreau et Lucie Fréchette, professeurs retraités de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Le Fonds est-il pour autant l’«affaire» de quelques personnes? Au début oui ! Aujourd’hui non! D’abord en termes de mobilisation, il dispose d’ancrages dans 6 régions dont la plupart ont des coordinations régionales. Ses coordinations régionales forment un réseau de près de 25 personnes. Parmi elles, huit (8) sont membres du Conseil d’administration. Ces 25 personnes forment le noyau animateur du Fonds partout au Québec : ils se réunissent régulièrement, participent à des comités de travail du Fonds, animent les activités de leur région et tiennent un rendez-vous annuel d’une journée pour faire le bilan de l’année et établir le plan de match de l’année suivante.

Le Fonds a aussi le soutien d’une vingtaine de personnalités de tous les horizons (coopératif, communautaire, syndical, culturel, professionnel, religieux, etc.) qui appuient publiquement le Fonds. Le Fonds a également des partenaires ici, des OCI d’expérience solidement ancrés au Sud tels UPA DI et SOCODEVI. Ce ne sont pas les seuls, d’autres démarches sont en cours de ce côté-là. Ça commence à faire beaucoup de monde. Sans compter, bien sûr, les 150 personnes donatrices qui suivent de près ce que le Fonds fait et pourquoi il le fait car les activités régionales sont organisées, pour partie, afin de rendre compte de ce que le Fonds fait, comment et pourquoi.

En termes plus institutionnels le Fonds est une OSBL et un organisme de bienfaisance au sens juridique de ce terme. Il doit donc par ses administrateurs rendre compte à l’Agence du revenu du Canada et à son équivalent à Québec des dotations qu’il reçoit. Pour appuyer le CA dans son travail le Fonds compte sur une équipe bénévole de conseillers professionnels : un conseiller en développement international, un conseiller juridique, un courtier d’assurances, un conseiller en matière de comptabilité.

Note : dans de prochaines infolettres, nous aborderons des questions comme les suivantes : 1) l’argent recueilli : quel pourcentage (%) se rend à destination chez nos partenaires du Sud ? 2) qu’est-ce qui permet de dire que le Fonds  Solidarité Sud va durer? 3) Où le Fonds place-t-il l’argent de son fonds de dotation et selon quelle politique? 4) Malgré la jeunesse du Fonds et le fait que toute action de caractère social ne se comptabilise pas, le Fonds peut-il déjà témoigner de certains résultats au Sud ?

Si vous avez d’autres questions, n’hésitez à nous les faire savoir à l’adresse suivante : info@fondssolidaritesud.org

 

 


Nouvelles de la planète «solidarité internationale»

Changements climatiques et sécurité alimentaire : même la Banque mondiale a fini par comprendre!

Dans un court article du Devoir fin novembre dernier, la Banque mondiale annonçait :

« Sans une action forte et rapide, le réchauffement […] et ses conséquences pourraient considérablement aggraver la pauvreté dans de nombreuses régions du globe », prévient l’institution phare du développement dans un rapport publié un an avant la conférence de Paris sur le climat.

Pour en savoir plus on va sur le site du journal Le Devoir:


Un rendez-vous international à Québec où le Fonds Solidarité Sud était bien présent

Participants au rendez-vous du 6 octobre 2014

Le RDV en question était organisé par la CRDC dans le cadre du Sommet international des coopératives. À cette occasion, le 6 octobre dernier, plus de 100 personnes en provenance de 15 organisations et de quatre réseaux (coopératif, syndical, OCI et agriculteurs) dont le Fonds Solidarité Sud, ont débattu et échangé une journée entière sur les nouveaux défis de la solidarité internationale et notamment ceux de l’urgence écologique (agriculture durable, transition énergétique) et ceux de la finance solidaire notamment la «capitalisation» des initiatives socioéconomiques du Sud (où trouver le financement?) par la coopération québécoise avec des économies de proximité au Sud, notamment celles des coopératives, des mutuelles, des organisations paysannes, des groupes de femmes et de jeunes.... Ce rendez-vous des 15 organisations a fait naître, à l’initiative du regroupement des OCI du Québec, l’AQOCI, un groupe de travail sur un projet de mise sur pied d’un tel Fonds d’investissement soutenant, à l’image des fonds de travailleurs, des initiatives économiques de communautés du Sud en offrant des prêts et des garanties de prêts en co-financement.

Trois pièces parmi d’autres de ce rendez-vous peuvent nourrir votre réflexion :

  1. La première est une vidéo de 9 minutes : une entrevue du journal Ensemble, une coopérative de jeunes journalistes clairvoyants, avec le président du Fonds également titulaire de la Chaire de recherche en développement des collectivités (CRDC) de l’UQO.
  2. La seconde pièce est un cahier spécial de 8 pages du journal Le Devoir produit le 2 octobre dernier sur Économie verte, coopératives et solidarité internationale.
  3. La troisième  pièce est un cahier du participant préparé par la CRDC pour l’occasion: Où en sommes-nous en matière de transition écologique de l’économie sur la planète et qu’est-ce que les coopératives, les syndicats, les agriculteurs et les OCI font pour aller dans sa direction qui commande l’urgence.

Pour écouter la vidéo, obtenir l’un ou l’autre des articles, le cahier spécial du Devoir ou le cahier du participant, on va directement sur le site de la CRDC (à la rubrique de l’infolettre).

Mentionnons que, pour le Fonds Solidarité Sud, ce fut l’occasion de mieux connaître les organisations engagées à nos côtés (Caisse d’économie solidaire Desjardins, UPA DI et SOCODEVI, l’AQOCI) mais aussi de fréquenter des organisations partageant les mêmes valeurs comme Développement solidarité internationale (DSI-CSN), le Service de solidarité internationale de la FTQ, l’Association internationale de la finance solidaire (INAISE) et quelques autres.


Vous pouvez faire le don d’une police d’assurances dont vous ne savez que faire  

Vous avez 65 ans. Vous avez une police d’assurance vie que vous avez contracté pour votre fils lorsqu’il avait 15 ans. Il a maintenant 35 ans et gagne bien sa vie. Vous ne désirez plus cette assurance pour laquelle vous continuez cependant de payer des primes. Cette police a une valeur de rachat. Pourquoi ne pas libérer cet argent et en faire un don de bienfaisance au Fonds Solidarité Sud. C’est l’expérience que le Fonds Solidarité Sud a vécue l’an dernier. Le Fonds est devenu titulaire/propriétaire d’une police d’assurance de $25 000. La personne qui nous en fait don a obtenu un reçu d’impôt pour la valeur de rachat de la police au montant de $11 000. Une décision «gagnant-gagnant» pour les parties concernées. C’est le Fonds qui paie désormais la prime qui après tant d’années est relativement minime. Au décès de la personne, le Fonds recevra $25 000. Pour toute question à ce sujet, contactez en toute confidentialité notre responsable Lucie Fréchette : lucie.frechette@uqo.ca

 


Don par testament

Point n’est besoin d’être millionnaire pour faire un legs en faveur du Fonds Solidarité Sud. Il suffit d’avoir un patrimoine. Aujourd’hui, contrairement à l’idée reçue, la plupart des Québécois en ont un : maison, dépôts à terme, placements, polices d’assurance-vie. Tous accordent la priorité à la famille (les enfants). Rien n’empêche. Il existe des façons complémentaires de disposer de ce patrimoine. Dans certaines traditions, on en donne aussi pour une cause sociale (lutte contre le cancer, fondations des universités, associations culturelles, etc.). Et contrairement à ce qu’on pense généralement seulement 5 à 9% des dons des Québécois et des Canadiens vont à une cause internationale. Une question se pose : ne peut-on pas envisager notre héritage en fonction de la famille et d’une cause sociale ?  

Quelque que soit le montant de votre legs au Fonds Solidarité Sud (en argent sonnant ou en % de votre patrimoine), vous contribuerez personnellement à soutenir :

  • Notre mission qui est d’appuyer directement des projets au sein de communautés locales de pays du Sud ;
  • La construction d’un outil financier dont le capital est inaliénable (protégé) mais dont les intérêts servent à appuyer des projets ;
  • Notre capacité à maintenir notre indépendance dans ce travail de soutien.

En dernière instance nous aidons ainsi à réinventer l’espoir au sein de communautés du Sud aux prises avec des problèmes 10 fois plus graves que les nôtres et disposant de 10 fois moins de moyens pour s’en sortir.

Plusieurs modalités sont possibles mais la principale est la suivante : vous signifiez dans votre testament qu’un montant spécifique ou un pourcentage de votre avoir patrimonial (1%, 5% ou 10% par exemple) sera attribué à l’organisation Fonds Solidarité Sud. À votre décès, l’association l'investira selon vos directives : soutien direct à des projets en cours et/ou soutien pour alimenter son capital de base dont seuls les intérêts peuvent être utilisés pour des projets. Pour toute question à ce sujet, contactez en toute confidentialité notre responsable Lucie Fréchette : lucie.frechette@uqo.ca

 

 

 

Pour faire connaître le Fonds à vos amis, n’hésitez pas à leur faire connaître notre site à l’adresse suivante : http://www.fondssolidaritesud.org  Invitez-les à s’abonner à l’infolettre.
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Ce Bulletin rejoint quelques 350 membres et amis du Fonds, principalement des personnes intéressées par le développement d’une véritable solidarité internationale avec des communautés et des mouvements dans les pays du Sud. Sur son site, le Fonds Solidarité Sud met à la disposition des internautes des documents téléchargeables issus de ses activités et de ses travaux de même que des documents pertinents d’organisations avec lesquelles il développe des collaborations. Parmi ces partenaires, mentionnons SOCODEVI, UPA-DI, le ROSI, la CRDC, et le GESQ. Le présent bulletin a été préparé par Louis Favreau et Lucie Fréchette, corédacteurs. Webmestre du site du Fonds : Patrick Morin, CRDC-UQO.

 

 

Fonds de dotation Solidarité Sud